Bonnes pratiques emailing
Infographie : La curiosité est-elle vraiment un vilain défaut en emailing ?
Quel impact ont les objets d'emails poussant à la curiosité sur le taux d'ouverture ? Nous avons mené une étude dans 5 pays pour en savoir plus.
Qui n'est pas curieux ? Chez Mailjet, nous avons tous un petit côté fouineur. C'est pourquoi nous aimons tester de nouvelles stratégies pour les objets d'emails sur les lecteurs de notre newsletter. L'année dernière, nous nous sommes amusés à tester les emojis, et en janvier, nous avons voulu égayer vos boîtes de réception en essayant une autre approche à l'aide de tests A/X.
Au fil des ans, nous avons vu d'excellents exemples de fausses fuites d'informations visant à booster l'engagement. Prenons l'exemple de Krispy Kreme : pour lancer son nouveau donut au Nutella, la chaîne de restaurants américaine a mis en scène la divulgation massive d'une « note interne confidentielle » destinée aux directeurs de magasins. La marque a ainsi créé un buzz sur Twitter en une heure – après avoir émis des hypothèses sur l'incident présumé, les internautes ont commencé à féliciter l'entreprise pour ce lancement réussi. Nous nous sommes demandé quel impact cette approche aurait sur le taux d'engagement de notre newsletter.
Table des matières
Approche n° 1 : l'email destiné à quelqu'un d'autre
Approche n° 2 : la confidentialité
Approche n° 3 : le potin
Des objets d'emails suscitant la curiosité permettent-ils de booster l'engagement des lecteurs ?
Nous avons testé trois objets d'emails, en faisant passer le premier pour un email qui n'était pas destiné au lecteur, en jouant sur la confidentialité dans le deuxième, et en adoptant un ton de commérage dans le troisième. Comme point de référence, nous avons utilisé un objet qui ressemble à ceux que nous vous envoyons d'habitude, beaucoup plus neutre. Nous nous sommes dit qu'en titillant la curiosité de nos lecteurs, nous les inciterions peut-être à ouvrir notre newsletter.
Vous voulez connaître les résultats de notre test ? Vous les avez probablement déjà devinés. Dans la plupart des cas, nous avons observé un engagement accru pour les objets éveillant la curiosité. Découvrez les réactions de nos abonnés à ces différentes approches selon leur zone géographique :
Approche n° 1 : l'email destiné à quelqu'un d'autre
Objet testé : RÉUNION MANAGEMENT : détails de la réunion 19 janvier Suivant l'exemple de Krispy Kreme, nous avons joué sur la confidentialité et l'exclusivité. Admettons-le : personne n'aime se sentir exclu... surtout nos lecteurs britanniques, qui se sont montrés les plus réceptifs à cette approche.
Approche n° 2 : la confidentialité
Objet testé : Cet email a été conçu pour vous seulement. Cette approche a été la plus efficace pour booster l'engagement. Les Espagnols ont été les plus curieux, suivis par les Français et les Britanniques. Nous avons également fait appel à la psychologie inversée dans cet objet : nous souhaitons au contraire que nos lecteurs partagent nos contenus avec leurs réseaux.
Approche n° 3 : le potin
Objet testé : Vous ne devinerez jamais ce qu'il s'est passé la semaine dernière !? Il semblerait que nos lecteurs avertis du Royaume-Uni et des États-Unis n'aient pas été fans de cette approche, étant donné que celle-ci a eu l'impact le plus faible sur l'engagement de ce public. En revanche, elle a eu beaucoup de succès auprès de nos abonnés allemands, qui se sont montrés les plus curieux. Vous aussi, vous voulez savoir ce qui s'est passé cette semaine-là ? Eh bien, nous avons publié un article qui explique comment tester de nouvelles idées pour vos objets d'emails. À ne pas manquer.
Vous voyez, en ajoutant une petite touche personnelle et en titillant la curiosité de votre public, vous pouvez augmenter le taux d'engagement de vos newsletters. Découvrez l'intégralité des résultats de notre test dans l'infographie ci-dessous.
Avez-vous essayé de susciter la curiosité de vos lecteurs dans vos objets d'emails ? Partagez vos plus belles réussites avec nous sur Twitter.
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